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The Summer Girl (Avalon Bay, #3)(73)

Author:Elle Kennedy

– Oh… ?a te contrarie ?

– ?videmment, ?a me contrarie même beaucoup…

Je la laisse me mettre sur le dos. Elle attrape mon bermuda, le fait descendre rapidement le long de mes hanches. Tout à coup, ma queue jaillit, dure et impatiente.

Cassie me regarde d’un air amusé.

– Quelqu’un est excité.

– ?videmment que je le suis, tu t’attendais à quoi ?

J’aspire une grande bouffée d’air quand elle me prend dans sa main et commence à baisser la tête.

– Oh, non… surtout pas ?a, je lui dis en l’éloignant de moi.

Elle a l’air vexée.

– Comment ?a, non ?

– Pas de pipe.

– Jamais ?

– Non, pas jamais. Mais pas maintenant. Je veux pouvoir tenir plus de trois coups.

?a l’amuse que je lui dise un truc pareil.

– Tu aurais d? te branler avant de partir. J’ai lu que certains hommes le font pour se détendre.

– Le pire, c’est que je l’ai fait ! je marmonne entre mes dents.

Bien s?r, elle éclate de rire.

– Et tu es encore à deux doigts de g?cher ma première fois ?

Je sais qu’elle plaisante, mais je me sens gêné qu’elle en parle.

– Arrête, Cass ! Ne dis pas ?a, maintenant je vais y penser tout le temps.

– Non, je reprends ce que je viens de dire. (Elle se jette sur moi, nos corps nus à nouveau se retrouvent emmêlés. Elle prend mon visage à pleines mains et me regarde droit dans les yeux.) Rien ne sera g?ché… Même si on ne fait pas l’amour maintenant, ?a restera un des plus beaux jours de ma vie. Je suis sincère.

– Pour moi aussi, tu sais… Ma première virée sur le Lightning avec Cassie à bord, tout près de moi ? Quoi qu’il arrive entre nous à l’avenir, je n’oublierai jamais ce moment.

Et je n’oublierai jamais ?a. D’une main, je caresse un de ses seins charnus et parfaits, je frotte légèrement mon pouce sur son mamelon perlé et quand je pose mon autre main entre ses jambes, je la trouve humide et prête à m’accueillir.

Non, je n’oublierai rien de cette soirée.

Elle essaie à nouveau d’attraper ma queue, et une fois de plus, j’intercepte ses doigts.

– Non Cass, pas ?a… je murmure à son oreille.

Je me relève à moitié pour prendre mon sac. Je dézippe la poche latérale et trouve les préservatifs que j’y ai cachés.

Une fois mis, je commence à glisser sur son corps. Je touche légèrement ses hanches et baisse mes lèvres pour embrasser son mamelon. Ensuite, je relève doucement la tête avant de lui demander :

– ?a va ?

– Tout va bien, répond-elle en me guidant entre ses jambes.

Je ne l’ai même pas pénétrée d’un centimètre que nous sommes déjà tous les deux en nage. La sensation qu’elle m’enserre si étroitement me monte à la tête, je suis comme tétanisé, je ne sais même plus comment baiser. Je reste sur elle, le gland logé à l’intérieur… et ce n’est que lorsqu’elle gémit d’impatience que je me ressaisis.

– Prête ? je chuchote.

– Mmm…

Je pousse ma queue en elle aussi doucement que possible, allant au-delà de sa résistance tout en l’embrassant avec tendresse pour tenter de lui faire oublier le petit gémissement de douleur qu’elle vient de pousser.

– Tu vas bien ? je murmure contre ses lèvres.

– Hum… Hum… Attends, une seconde.

Je me fige, toujours baigné dans sa chaleur superbe… la meilleure sensation au monde. Tout doucement, c’est elle qui commence maintenant à bouger. Elle relève un peu ses hanches, enfon?ant ses ongles dans mes épaules… quelle agréable torture ! Je ne sais pas si elle le fait exprès, mais j’ai l’impression que sa chatte ondule autour de moi : elle me serre fort, elle me rel?che… puis elle me serre encore. Je contracte mon cul autant que je peux, parce que j’ai peur que si je bouge d’un iota, je me mette à la baiser comme un dingue.

Elle me serre une fois de plus… Irrésistiblement, mes hanches font un mouvement vers l’avant. Un coup dur et profond qui la surprend… elle pousse un petit cri. J’étouffe un juron… si ?a continue, je ne vais pas survivre à ?a.

– OK, je marmonne. Voilà ce qui va se passer…

Elle décoche son plus beau sourire.

– Oui, dis-moi, s’il te pla?t.

– Je vais nous faire rouler, tu vas me chevaucher et c’est toi qui vas donner le rythme, d’accord ? J’essaie d’y aller le plus doucement possible, mais je n’y arrive pas dans cette position.

L’instant d’après, elle est à califourchon sur moi. J’installe un oreiller sous ma tête pour mieux la regarder. Les joues br?lantes, les yeux brillants et pleins de désir, elle hésite. Elle ne sait pas comment s’y prendre.

Je l’observe, me sentant totalement à sa merci.

– Prends ce dont tu as besoin, je lui dis tout doucement. Chaque partie de mon corps t’appartient.

Cassie sourit. Lentement, elle commence à bouger sur ma queue, ses mains se posent à plat sur ma poitrine, ses lèvres s’entrouvrent. Elle se penche en avant, ses cheveux tombent sur nous comme un rideau en chatouillant mes pectoraux. Elle m’embrasse et pousse un long soupir.

– Oh… j’aime ?a.

– Quoi ? je lui demande à voix basse.

– T’embrasser quand tu es en moi.

Sa respiration devient plus lourde, elle accélère le rythme, envoyant tout à coup un éclair de plaisir à travers tout mon corps. Je sens mes couilles qui remontent, je dois une fois encore faire attention et bien serrer les fesses. Je réalise alors que mes mains lui tiennent trop fermement les hanches et que mes doigts s’enfoncent trop fort dans sa chair. Je l?che ma prise, je dois me détendre !

Elle s’arrête tout à coup, je la sens perdue. Désemparée.

– Et si je ne peux pas y arriver comme ?a ?

– Alors je te lécherai à nouveau, je chuchote, soupirant de bonheur. Et toute la nuit s’il le faut.

– Tu es s?r, tu t’en fiches, vraiment ?

– Bien s?r que oui… tout ce que tu veux, pourvu que tu y prennes du plaisir.

– Ce qui est le cas, m’assure-t-elle en se penchant pour m’embrasser encore.

Je la soulève légèrement pour bien l’installer sur ma poitrine et puis je lui donne quelques petits coups provocateurs de hanches tout en glissant ma langue dans sa bouche. Elle ouvre les yeux et r?le légèrement.

– Qu’est-ce qui se passe ? je lui demande en stoppant net.

Elle agite légèrement ses hanches pour mieux enfoncer le bas de son corps sur mon sexe.

– Oh. Cette position, dit-elle d’une voix rêveuse, ?a frotte juste au bon endroit. Cette fois, c’est la bonne.

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